Poker : création de clubs de jeu à Paris
La ville de Paris va pouvoir enfin jouer !
Si Paris était connue à l’époque pour ses nombreuses salles de jeux, de nombreuses contraintes et une certaine volonté politique avaient provoqué la fermeture de nombreux établissements. Les cercles de jeux, organisme qui ne pouvaient pas générer de bénéfices, étaiet de facto peu intéressants pour les potentiels investisseurs.
Or depuis le mercredi 14 décembre, les choses vont changer : l’assemblée nationale, dominée par la Gauche, a donné son feu vert pour la réouverture de salles de jeux à Paris. Une décision assez surprenante quand on sait que la Gauche est, par idéologie, plutôt hostile à ce genre d’activité.
Dans ces salles de jeux, les joeurs pourront goûter aux joies du Poker, mais aussi aux différents jeux de cartes, au Blackjack gratuit de dés et bien d’autres encore comme les jeux de casino.
Une manne financière pour la ville de Paris
Avec cette nouvelle réglementation et la facilitation de l’ouuverture de nouvelles salles de jeux, la ville de Paris va pouvoir obtenir de nouvelles recettes via des prélèvements sur les transactions ou bénéfices obtenus. Les cercles, transformés en clubs, pourront désormais obtenir des bénéfices, augmentant la possibilité des investissements dans ce genre d’activité.
Cette nouvelle réglementation va également permettre aux autorités de réduire les salles de jeux clandestines, qui échappent à tout contrôle fiscal. Une stratégie gagnant gagnant qui sera évaluée d’ici quelques années.
Des casinos pas toujours favorables à cette démocratisation
L’ouverture des clubs de salles de jeux ne plaisent pas à tout le monde. Les jeux de casino seront désormais accessibles à Paris pour le plus grand nombre, alors que des caisnos importants comme celui d’Enghien les Bains verront une partie de sa clientèles se détourner de ses infrastructures.
Le conflit risque de devenir critique pour le prochain gouvernement, sauf si des mesures sont prises, comme ce fut le cas pour le conflit entre les VTC et les taxis.